Saturday 1 January 2011

1er janvier, puisqu'il le faut

C'est mon premier billet de l'année 2011, il faut bien en écrire un. Je fête en général assez peu  le Jour de l'An. Je trouve que c'est un peu le dernier jour des Fêtes et qu'en fait elles sont déjà un peu beaucoup terminées le premier janvier. Je regarde le sapin et je trouve qu'il n'a plus sa place dans le salon. Le mois de janvier est donc synonyme de blues pour moi.

Durant mon enfance et jusqu'à l'âge adulte, nous allions déjeuner à chaque premier janvier. Nous y allions à pied de chez nous, même s'il faisait souvent un froid de canards. Ce serait peut-être une tradition à reprendre, parce que le Jour de l'An m'ennuie profondément et qu'un gros déjeuner bien consistant (oeufs, bacon, saucisses, toasts au beurre d'arachide) ça commencerait l'année du bon pied.

2 comments:

PJ said...

Je voudrais bien recommencer aussi la tradition mais le restaurant du Montagnais ne s'appelle plus le Manitou mais le Légendaire, et malheureusement les froids sibériens du jour de l'an sont choses du passé. Il a plu de Chicoutimi à Montréal, avec un brouillard plus ou moins épais d'un bout à l'autre du trajet. Et dans le temps, le congé durait jusqu'à l'Épiphanie, maintenant on recommence à travailler le 3-4. Ça rend le Jour de l'An encore plus déprimant.

Guillaume said...

Je n'ai jamais beaucoup aimé le Jour de l'An et c'est vrai qu'il est devenu pire qu'avant, notamment parce qu'on le fête encore moins qu'avant.